Après le FRET puis les ligne internationales, la mal nommée loi du « pacte ferroviaire » que nous avons combattue, autorise l’ouverture à la concurrence de l’ensemble des autres activités de transport ferré selon des calendriers différents. Pour les activités dites conventionnées c’est-à-dire faisant l’objet d’une convention entre la SNCF et l’État ou une région,
cette ouverture des marchés est possible à partir de 2020 et obligatoire à partir de 2023. Transilien n’échappe pas à la règle même si le calendrier est différent d’une ligne à une autre.