communiqué commun des URIF
Le 24 novembre, 338 député-es de la République se sont déshonoré-es en votant, en première lecture, un projet de loi dite de « sécurité globale » qui laisseraient impunies les violences policières en interdisant toute image d’un fonctionnaire de police en opération et en muselant la presse. La défenseure des droits, l’ONU, la commissaire européenne aux droits de l’homme… le spectre des condamnations est de plus en plus large. Mais il est probable qu’elles ne suffiront pas d’autant que les articles
incriminés vont être réintroduits dans la loi sur le séparatisme, dite loi « confortant les principes républicains ».
C’est bien le rapport de force pour exiger le retrait des textes et décrets liberticides qui peut faire renoncer ce gouvernement dans ces projets liberticides !