Réunion RPX du 7 décembre 2021

14 Jan 2022

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CR-RPX-ordi-07.12.2021-V2

La DSE (Délégué Sureté d’Etablissement) a expliqué qu’il y a une différence entre la vidéo surveillance et la vidéo
protection :
• La vidéo surveillance est le fait de sécuriser les locaux et les agents.
• La vidéo protection est le fait de sécuriser les agents et les usagers.
Jusqu’à présent, la vidéo protection du point de ventes Fresques était gérée par Gares et Connexions. Suite à
l’application d’un décret, l’ESV TGV PSE reprend cette charge.
A Paris, les installations existantes ne changent pas. L’écran de
visionnage existerait déjà et serait situé dans le bureau des ACM
ventes d’après la direction.
Sur Dijon la création du processus est en cours.
L’autorisation du préfet a été donnée pour 5 ans à la DSE, qui a
ensuite habilité les DPX pour 2 ans.
La procédure serait reprise dans un référentiel confidentiel non
accessible via digidoc. Il existerait deux référentiels en version
papier : 1 dans le bureau d’un DPX à Dijon et 1 dans le bureau des
DPX à gare de Lyon (mais 1 seul serait autorisé à le consulter) … mais où ?
Comment ça fonctionne ?
Les images tournent en boucle et sont sauvegardées durant 72h. Passé ce délai elles sont écrasées. En cas de
fait sûreté la direction peut faire une demande auprès de la Suge pour récupérer les images qui seront gardées
30 jours. Si la police fait une réquisition des images, elles seront sauvegardées pour l’enquête, à défaut, elles
seront écrasées au bout du délai des 30 jours.
Sur une période de 6h l’établissement a la possibilité de faire un rembobinage mais la demande doit être
correctement motivée par mail ! Passé les 6h, l’établissement a également la possibilité de demander un compte
rendu des images auprès de la Suge.
SUD-Rail a souligné les abus qui pourraient avoir lieu, et plus particulièrement le fait que la hiérarchie puisse
utiliser ces vidéos pour fliquer.
La direction a indiqué que non seulement cela n’est pas le but mais surtout qu’il y a un cadre légal à respecter.
S’en servir pour fliquer est illégal. Les demandes de rembobinage seraient très normées et devront être motivées
pour des choses beaucoup plus graves comme les agressions ou des faits concernant la sécurité ferroviaire (à
croire qu’elle en oublie les abus qui ont existé dans le passé). La demande passe par la DSE qui jugera si la
demande est légale ou pas.
Concernant les vidéos sur le quai, l’établissement n’a pas la main dessus : c’est Gares et Connexions qui gère.
Les RPX ont demandé une traçabilité de la demande de visualisation pour éviter les abus.
La présentation de l’orientation des caméras n’a pas été faite en RPX comme cela a pu être fait en CSE.
SUD-Rail a demandé qu’un rappel soit fait auprès des encadrants qui pourraient se servir de la vidéo
protection afin de fliquer les agents. SUD-Rail restera vigilant sur ce sujet et plus particulièrement aux
abus qu’il pourrait en ressortir.

La direction a souhaité faire un retour d’expérience de ce projet qui a débuté
en février 2021, concernant la méthode de gestion du projet à la fois sur la
période passée, les différentes phases, les compétences, l’organisation du
travail et «sa » vision cible.
Comme à son habitude, lors de la réunion, la direction a présenté un support
beaucoup plus complet que celui envoyé en amont aux RPX !
Cette expérimentation a débuté avec 2 DPX. Puis un 3ème a été rajouté en
avril 2021. Aujourd’hui, un DOS rejoint le projet pour manager les régulateurs
et le programmateur.
Lors de sa présentation, la direction réaffirme sa volonté de développer la
polyvalence ventes/escale à tous les niveaux, et le fait qu’il soit inévitable de
changer de modèle car avoir 30 agents par DPX devient compliqué (si la

direction remplaçait déjà les DPX partis on ne serait pas dans cette situation-
là !).

Elle affirme que le nombre d’agents par DOSPX sera diminué à 8, voire 10
maximum.

Elle indique que ce projet a pour but d’augmenter la présence managériale en opérationnel sur le terrain tout en
renforçant la proximité des agents avec les DPX et combiner le management opérationnel et fonctionnel.
En parallèle, la direction veut tester pour cette 2eme phase, un roulement à partir du 1er janvier 2022 (qui nous le
rappelons n’a jamais été présenté en amont dans aucune instance) pour une durée de 3 mois (60% de journées
DOS et 40% de journées fonctionnelles) où les 9 DOS et 4 DOSPX seront graphiés. Ce roulement intègre des
journées dites fonctionnelles (casquette DPX) pour lesquelles les DOS qui ne sont pas encore DOSPX seront
replacés sur des journées pures DOS pas encore affectées. Les DOSPX qui jusqu’à présent étaient à la réserve ne le
seront plus de fait et ne bénéficieront plus de la prime réserve. Encore une fois la direction gagne en coût et se
cache sur le fait que ces agents auront un roulement. Sauf qu’elle oublie qu’un roulement c’est à l’année et non sur
trois mois.
Concernant l’organisation de travail des journée DOS, le sujet des passations de service ayant été remonté, la
direction modifie les horaires des DOS côté escale de façon à ce qu’il y ait 30 minutes pour la passation de service
et rajoute une référence supplémentaire de 15h15 à 23h. Et lorsque SUD-Rail fait remarquer qu’il n’y a rien côté
ventes, cette dernière rétorque que c’est en cours de réflexion. Sauf que la réalité est toute autre, car nous avons
appris ce même jour (après la présentation de ce projet bien sûr sinon cela serait trop honnête) qu’un projet de
réorganisation serait présenté en CSE avec, entre autres, la suppression de 14 postes de ventes et la modification
de l’horaire d’ouverture de l’espace de ventes Fresques à 6h30 au lieu de 6h, rendant le sujet passation de service
des DOS ventes caduque.
Renforcer la production avec moins d’agents mais plus d’efficacité va forcément avoir un impact sur la QVT (il est sûr
que supprimer des postes et rajouter des tâches aux agents restants c’est agir sur la qualité de la vie au travail c’est
bien connu !). Pour SUD-Rail la direction cherche encore une fois à pallier l’absence de recrutements et
suppressions de postes plutôt qu’autre chose.
On se demande comment elle va agir sur la forte demande des usagers concernant la visibilité des agents SNCF
alors que depuis des années elle a retiré tous les agents dans les gares ainsi que sur la relation client.
Et lorsque SUD-Rail interpelle la direction sur le sujet, cette dernière déclare qu’il n’y a aucunement de projet sur la
productivité chez les managers mais que le but est de diminuer le nombre d’agents dans les équipes des DPX (mais
bien sûr on connait tous l’histoire de la marmotte et du chocolat dans le papier d’alu).
En cas d’aléa (prolongation de la fin de service suite à des prises en charge entre autres) comment va s’articuler la
journée de service suivante, d’autant plus si c’est une journée fonctionnelle ?
Là encore, la direction assure que du fait qu’ils soient de 2 à 6 agents qu’ils pourront toujours pallier et que d’autres
managers pourront prendre la suite ! (Évidemment il n’y a rien d’écrit ni de figé, juste des belles paroles).
Concernant Dijon il n’y a aucun retour sur les passations de service alors qu’eux aussi sont concernés avec la mise
en place de DOS.

La direction dit y avoir réfléchi mais préfère sécuriser les matinées plutôt que d’assurer une passation. C’est à se
demander si les soucis de Dijon préoccupent nos dirigeants. Ils en oublieraient presque que Dijon fait partie de
l’ESV TGV PSE.
En résumé, cette phase 2 du test se fera donc de janvier à mars 2022 avec :
• La référence de renfort DOS
• L’utilité des missions
• Les journées managériales
• Les horaires
Des groupes AI se feraient en échange libre, portés par l’établissement et encore une fois les IRP n’ont aucun
regard sur ça bien évidemment et les agents semblent triés sur le volet ! Il n’y a même aucune certitude que les
agents concernés y participent (formidable).
Pour SUD-Rail ce projet n’a pas de sens mis à part optimiser la
productivité à tous les niveaux. En effet, un DPX occupé en
opérationnel, n’a pas de temps à accorder aux agents. Nous le
voyons déjà lorsque ces derniers viennent sur le terrain donner
la pousse quand il manque des agents : ils ne sont ni plus ni
moins qu’une référence exécutant les taches. Si la direction
indique que le modèle de petit collectif expérimenté
aujourd’hui à l’ESV est différent de celui mis en place à
transilien, SUD-Rail rappelle que la seule différence réside
dans la Qualification des N+1. Pour autant les risques liés au
RPS sont quant à eux bien réels puisque ces projets mis en
place jusqu’à présent ont été de véritables flops où agents,
tout comme managers, en avaient pâtis.
Entre cette expérimentation et le projet de réorganisation annoncé au niveau de l’axe, SUD-Rail restera
vigilant et n’hésitera pas à utiliser tous les moyens à sa disposition pour intervenir.

Sous prétexte du déploiement de la mixité par Voyages au travers de la VO907, la direction de l’ESV TGV PSE a pris
la décision de basculer 10 roulements ventes en roulements mixité, bien évidemment sans en parler aux agents
concernés (à 2 exceptions près).
11 agents et 1 poste vacant sont donc concernés :
• 3 agents en partie formés escale car étaient sur des roulements ventes ayant 1 journée embarquement,
• 6 agents pure ventes (dont 5 en absence longue durée),
• 2 Temps partiels week-endistes.
Une fois de plus, il est regrettable que les agents concernés n’aient pas été informés de cette évolution et qu’ils
n’aient encore moins pu donner leur avis sur le sujet, encore une fois.
L’inexistence de la fiche de poste est anormale et pose beaucoup de questions car la VO907 ne fait pas tout.
Quant à l’accompagnement, la direction indique que les formations débuteront dès la mi-décembre 2021 pour
certain-e-s et que s’il y a besoin de plus d’accompagnement cela se fera au cas par cas.
Pour SUD-Rail, le développement de la mixité ne fait qu’accroitre le mal être au travail pour bon nombre
d’agents. La direction aurait mieux fait de poursuivre ce déploiement par le volontariat tout en
accompagnant correctement les agents afin de les faire « adhérer » en maximisant sur les conditions de
travail plutôt que d’imposer sans que ces derniers n’aient leur mot à dire. Une fois de plus les agents
subissent avec le risque de se retrouver en difficulté car la polyvalence amènera de fait une baisse des
compétences liées à l’expertise des métiers.

La direction évoque le standard des postes à fourchette préconisé par Voyages pour justifier ce choix, qui
permettrait d’ouvrir le recrutement de ce poste sur des profils plus larges tout en travaillant sur le parcours
professionnel (quand on parle des cadres la direction arrive toujours à travailler sur les parcours professionnels
contrairement aux agents de l’exécution).
Sauf qu’un poste de DOV étant parti était déjà pourvu par un agent à la qualification G. Cela arrange donc bien la
direction de basculer ce poste sur une qualif à fourchette pour rester dans les clous.

Pour le 3ème trimestre 2021 il y a eu :
• 10 accidents de travail avec arrêt
• 8 accidents de travail sans arrêt
• 2 accidents de trajets avec arrêt
• 11 quasi-accidents
Au cumul, il y aurait eu 31 accidents du travail depuis début 2021. D’après la
direction il y aurait une baisse significative par rapport à 2020, qui à la même
période, comptait 54 accidents du travail.
Au-delà des points soulevés en RPX, SUD-Rail a demandé la réglementation
concernant les habilitations des contrôleurs sur la manipulation du matériel PMR
(plaques) et la manipulation du bouton pour lever la plateforme. La direction doit
revenir vers nous dès qu’elle saura.
Également il y a eu un rappel sur la dotation des chaussures antidérapantes pour les agents d’escale et mixité. La
direction se dit en grande réflexion sur le sujet et une expérimentation de chaussures de sécurité serait en cours
sur l’UO services de BFC.
SUD-Rail a indiqué qu’il existait des semelles dites « confort» au contrat cadre et qu’il serait utile que la
direction se penche dessus pour les proposer aux agents qui le souhaitent.
SUD-Rail a rappelé à la direction qu’un exemplaire de dossier accident du travail ainsi que les fiches de
soins doivent être impérativement remis à l’agent, quitte à les envoyer par la poste si celui-ci est absent.
SUD-Rail a rappelé que les ASCT doivent également être pris en charge sur les lieux de RHR notamment
par un cadre d’astreinte le jour même et non le lendemain.

La CSSCT a fait un premier bilan concernant les formations. Il en ressort que suite à la crise sanitaire les
formations sont en souffrance.
Entre le confinement en 2020, où les formations ont été annulées dans un premier temps puis reprises en demi
jauges, et les formations débloquées qu’à partir du 2eme semestre pour 2021, cela a été compliqué.
Il y a eu un nouveau package de formation avec neutralisation de certaines formations et seul le campus de
Nantes proposait de la SST.
Les sessions management sureté (vigipirate) ont uniquement été proposées en fin d’année.
Au 30 septembre 2021 l’établissement était à 42 % de l’objectif en termes d’heures de formations et à 55 % de
l’objectif en nombre de stagiaires (contre 46 % l’an passé au mois d’octobre 2020).
Ce qui serait prévu pour 2022 :
Les formations :
• Sécurités train
• Compétence manager
• Formation continue RET
• Formation continue formateur sécurité
• Formation management sureté
• Corpus sécurité module 2
• Service module 2
• Corpus sûreté module 2 (toutes les UO)
• Lâcher prise pour BFC
• Reliquat juridique placement (manque des
sessions)
• Formation initiale production (RET
compris)
• Formation TES I
• Formation TES J
• Formation ARC
• Incendie
• Sauveteur secourisme du travail (optim’service)
• Défibrillateur (cabinet médical)
Si optim’service n’est pas en capacité de répondre à la demande, la direction verra si elle a l’accord pour faire
appel à un prestataire externe.
Budget :
• 11414h pour 2022 (vs 11987h en 2021)
• 1428 stagiaires en 2022 (vs 1259 stagiaires en 2021)
A la question y a-t-il un report des formations qui n’ont pas été réalisées ? La direction ne se prononce pas.
Concernant le dojo sûreté : 199 agents auraient bénéficié de la formation tout modules confondus (spécialement
dédiés sur les bagages abandonnés et risque attentat). Ces dojos seront maintenus et pérennisés.
Un exercice «risque attentat» sera programmé et réalisé de nuit durant le 1ersemestre pour l’espace services de
Paris et le 2ème semestre pour l’espace services de Dijon.
Des exercices d’évacuation gare devraient être réalisés également.
Compte rendu de la réunion RPX du 7 décembre 2021 Page 5

DOJO

D’après la direction, la valorisation de la relation client n’étant pas
structurée, elle a eu l’idée de mettre en place un questionnaire à
l’attention des usagers pour soi-disant valoriser le travail des agents au
travers de leurs retours.
Encore un nouveau moyen de la SNCF pour évaluer la qualité de travail
des agents à moindre coût : demander l’avis des usagers concernant
l’espace services et la façon de travailler des agents. Comme s’il n’y a
pas assez d’enquêtes mystères au sein de l’établissement ?
Un test sera effectué à partir de mi-janvier pour deux mois. Un REX aura
lieu à l’issue pour analyser les retours…
Un QR code sera mis en place à l’entrée de l’espace service pour laisser la parole aux usagers. La direction dit vouloir
valoriser le «retour client» et vouloir mesurer la « satisfaction client» sur l’espace de ventes. Mais lorsque SUD-Rail
lui propose de rajouter une question concernant la durée d’attente dans le gère-file elle refuse … on se demande
bien pourquoi !
Ce nouveau projet qui ressemble étrangement à l’application « mes clients» qui est déjà instaurée à l’UO train n’a
pour vocation encore une fois que d’instaurer un flicage auprès de ses propres salarié-e-s, sans parler de la pression
qui va peser sur les agents.
Des questions bien globales certes mais une question ouverte où les usagers pourront se lâcher également. On se
demande comment seront interprétés les résultats ?
Même si la direction déclare ne pas utiliser ces éléments de réponses pour faire une veille agents ou encore évaluer
la performance des agents, personne n’est dupe ! Pour SUD-Rail se sera sans doute encore un prétexte pour ne pas
noter les agents !
Les réponses pourraient être prises hors du contexte, nous doutons fortement qu’un usager qui aura attendu plus
d’une heure dans la file d’attente soit ravi du service proposé par la SNCF.
SUD-Rail restera vigilant quand aux dérives et conséquences que cette expérimentation pourrait engendrer.
Page 6

• Trenitalia
La direction indique qu’aucune commande n’a été effectuée auprès de SNCF concernant des prestations et que
s’il y en avait eu une, dans tous les cas SNCF n’aurait pas répondu favorablement.
La 1ere circulation aura lieu à partir du 18/12 sur Paris/Milan et mi-janvier sur Paris/ Lyon.
Pas d’info sur la gamme tarifaire.
Gare set Connexions a été sollicitée pour les portes d’embarquements. A priori, ils utiliseraient l’outil de Gares et
Connexions et non SESAM.
Le GOV sera construit de façon à ce qu’il n’y ait pas de quai à quai avec les trains SNCF. En cas d’aléas, la
direction avisera.
Ils seraient positionnés hall 1 voie G/H mais à confirmer avec la présence d’une équipe au sol mais nous n’avons
pas plus d’informations.

Leur Centre opérationnel serait basé quai N et leurs vestiaires et local de prise de service se situeraient en sous-
sol dans les anciens vestiaires escale.

Pour la distribution ils ont installé 5 BLS en gare et la boutique est positionnée à la place de l’ex boutique Thello.
La direction aurait pris contact avec eux pour avoir un échange.
Il n’y a pas d’accord commercial pour la prise en charge de leurs usagers à ce jour.
• Recrutements
Côté Train : 5 montées pour BFC, 11 sur Paris en respectant le parcours pro. Cela se fera mi-juin mais pourra être
anticipé.
Le sujet est en réflexion côté gare (avec l’annonce des suppressions de postes côté ventes on se demande bien
pourquoi !!!).
Côté train toujours 10 CDD pour noël et une grande nouveauté pour la période neige : l’embauche d’intérimaires.
• Machine à café
La direction doit revoir le contrat de l’ensemble des machines à café de l’établissement.
SUD-Rail a demandé à ce que la dotation café (badge) soit intégrée dans le carmillon comme dans nombres
d’établissements et que les cafés non utilisés soient cumulés.
A suivre…
• Macon Loche TGV
Suite à un TGV qui passe tard, la direction ne sait pas dire si une adaptation de l’OTS sera faite ou pas. Elle doit
faire le point à ce sujet.
• Porte côté pharmacie
Une perspective de changement de porte mais pas avant fin 2022 car il faut changer le système… en attendant
on répare !
• Dans le cadre de la QVT
SUD-Rail a demandé des chaufferettes utilisables tant pour les mains que pour les chaussures qui sont
disponibles au contrat cadre. SUD-Rail a également demandé à ce que le fauteuil des régulateurs soit changé (il
serait temps car c’est toujours le même depuis 2017). La direction a pris note et va regarder.
• D2I pour les roulants
SUD-Rail rappelle à la direction que dans le cadre de l’ordonnance de la cour de cassation, elle n’a pas le droit
de donner des commandes aux agents sur la journée calendaire en l’absence de commande après qu’ils aient
posé leur D2I. Grace à l’interventions des délégué-e-s SUD-Rail, la direction a fini par respecter la loi !