Une augmentation en somme uniforme de 400 euros par mois pour toutes et tous. Les hausses de salaire en pourcentage creusent les inégalités entre les bas salaires et ceux les plus élevés alors que ce sont les salarié·es qui ont les plus faibles salaires qui ont le plus besoin d’augmentation.
Une meilleure organisation du travail et l’amélioration de nos conditions de travail face à la pénibilité de nos métiers.
Les mêmes droits que les salarié-es de la SNCF concernant les facilités de circulation.