Tout d’abord, il convient de préciser que cette situation est transitoire et qu’en 2028, la CPRPF remplacera
complétement la sécurité sociale pour tou.te.s les cheminot.es, quels que soient leur statut et leur entreprise.
C’est pourquoi nous resterons vigilants, durant cette période transitoire, pour que le fait d’ajouter un interlocuteur
entre les contractuel.les et la caisse de sécurité sociale, n’engendre pas des retards, voire des oublis dans la gestion
des arrêts maladie par exemple, ou encore dans le traitement des accidents du travail, ou des refus fallacieux de ces
derniers de la part de la CPR, coutumière du fait !