Repression chez Transdev : la direction joue sa dernière carte

14 Oct 2021

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RepressionTransdev

La mobilisation des salarié-e-s de Transdev Île-de-France contre « l’accord-socle » a continué à prendre de l’ampleur la semaine dernière. Pourtant, la direction refuse toujours de porter la moindre attention aux revendications des
grévistes. Pire : en s’appuyant sur des constats d’huissiers bidonnés, elle tente de criminaliser l’action des grévistes.

PREMIÈRE PHASE : LE TRIBUNAL

Le mercredi 29 septembre, deux de nos camarades étaient convoqués devant de tribunal de Fontainebleau pour y répondre de diverses accusations lancées contre eux par la direction de Transdev Île-de-France. Ce lundi 04 octobre, la justice a rendu son verdict : Transdev est débouté de toutes ses demandes. Les grévistes ne sont pas des délinquants ! Le vendredi 01
octobre, 23 de nos camarades ont comparu devant le tribunal de Meaux.
Résultat : mêmes accusations bidons, et même résultat : Transdev a été renvoyé dans les cordes. Malgré ces deux échecs, la direction s’entête, et a fait convoquer des délégués de Sénart devant le tribunal de Melun.

DEUXIÈME PHASE : LES SANCTIONS DISCIPLINAIRES


En parallèle des actions en justice, la direction de Transdev convoque en disciplinaire les grévistes pour leur faire peur (une dizaine de collègues de VLP, 2 collègues de Nemours, et certainement d’autres à venir). Objectif : faire passer les grévistes pour des casseurs. En réalité, c’est Transdev et IDFM qui cassent le Service Public et les conditions de travail.
Cette intimidation n’aura pas d’impact sur la détermination des grévistes. La grève continuera jusqu’à l’abandon de l’accord-socle.

EXIGEONS L’ABANDON IMMÉDIAT DE TOUTES LES POURSUITES CONTRE LES GRÉVISTES.