L’an dernier, dans un contexte difficile de crise pandémique, cette filiale enregistrait un chiffre d’affaires de 489 millions d’euros et dégageait une marge de 271 millions d’euros. Cette filiale du groupe SNCF se porte donc très bien. Par cette vente, la direction SNCF privilégie donc le gain immédiat des 3,2 milliards issus de la vente, en mettant l’outil de la production du fret à la main de banques étrangères.
La Fédération SUD-Rail dénonce cette stratégie financière à court terme consistant à se séparer d’une entreprise majeure du secteur de transport ferroviaire de marchandise.