Le 27 août dernier, un éboulement de grande ampleur interrompait pour de longs mois la circulation des trains
depuis et vers le point frontière de Modane.
Cette mise à l’arrêt contrainte des circulations a
généré immédiatement un sureffectif d’une
soixantaine d’agents, personnels sédentaires et ADC
compris avec des conséquences immédiates sur leurs
emplois et leurs rémunérations. Conséquences pour
lesquelles l’ensemble des Organisations Syndicales
ont immédiatement interpellé et alerté les patrons en
local et au national.
Très vite la Direction a organisé des tables rondes en
mettant en place des mesures d’accompagnement
financières conséquentes pour celles et ceux en
capacité de partir en détachement. Nous n’avions rien
trouvé à redire, si ce n’est dénoncer les trous béants
dans les effectifs de nombreux chantiers du territoire
à cause la mauvaise gestion des besoins de production
de nos Directions successives.
Pour les patrons, les collègues qui devaient rester travailler sur place n’avaient droit à rien et les collègues en
auraient été de leur poche tous les mois en perdant tous leurs EVS ! Le mépris affiché par les patrons aura été de
courte durée !