Si le gouvernement s’acharne à faire passer la Loi Sécurité Globale, c’est pour d’autant plus réprimer les mouvements sociaux, pour faire taire toutes les dissidences et toutes les contestations. C’est pour imposer d’autant plus brutalement sa politique de casse des droits sociaux du monde du travail et de la jeunesse. Voilà pourquoi la lutte pour les libertés démocratiques du plus grand nombre et la bataille pour nos droits sociaux sont les deux faces d’une même pièce.
Le 5 décembre, journée annuelle de lutte contre le chômage, constitue la meilleure occasion pour nous d’affirmer que nous continuerons la mobilisation jusqu’au retrait de cette loi inique, ainsi que contre tous les plans de licenciements et contre les centaines de milliers de suppressions d’emplois dans le secteur privé comme dans le secteur public.
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